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source internet du 30 Décembre 2009 ‘Le yi-king dévoilé’


source internet

Yi représente un lézard, symbole de ce qui bouge sans cesse.
King signifie « livre révélé »
D’où la traduction : « le livre des transformations ».
Prolégomènes
Les Wou-King, livres canoniques qui renferment « la somme des expériences formulées et recueillies au cours des générations », appartiennent aux monuments littéraires les plus anciens. Leur texte est le résultat de la recension qu’en a fait Confucius (- 572, - 477), mais les parties les plus anciennes remonteraient aux premières dynasties (- 2000). La critique occidentale a tenté de distinguer les diverses couches de textes, rédigés à des époques fort différentes.
Le Yi-King est le premier, le plus ancien et le plus intéressant des Livres révélés, mais aussi le plus difficile à interpréter. « Premier effort d’une pensée libre de toute mythologie, premier effort aussi d’une représentation naturiste et symbolique du monde », sa portée est impossible à saisir à cause de notre connaissance insuffisante du milieu historique qui l’a vu se développer.
Son auteur serait le fabuleux Empereur Fo-Hi, considéré par les Chinois comme le véritable fondateur de leur Empire. Il aurait régné quelque trois mille ans avec notre ère actuelle. La légende chinoise le donne comme le fils d’un arc-en-ciel. Il aurait inventé l’agriculture, l’exploitation du sel, l’institution du mariage, le calendrier, la musique, le tissage des toiles et, surtout, l’écriture « par simples traits combinés de diverses manières », laquelle a précédé l’écriture hiéroglyphique.
Pour comprendre le Yi-King, il faut se rappeler que la religion impériale chinoise implique une très haute élévation de pensée, sous forme de naturalisme. Sa Loi était que : « le Bien est de vivre conformément à la nature des choses ». La base de cette morale s’appuie sur les trois normes, ou forces fondamentales : le Ciel, la Terre, l’Homme, chacune étant autonome mais toutes étant intimement liées. A condition de se trouver en parfaite harmonie, elles réalisent la perfection de l’Univers.
Le texte et son origine légendaire
Le livre comporte 64 hexagrammes que de nombreux commentateurs ont tenté de déchiffrer. Le texte primitif se limitait à huit trigrammes (koua) comprenant chacun trois lignes pleines et sectionnées. D’après la légende, l’empereur Fou-Hi vit sortir du Houang-Ho (appelé en Occident Fleuve Jaune) un cheval dragon qui portait sur le dos ces huit signes, sous forme de taches noires et blanches.
Ces signes sont les suivants :
Ciel     Lac   Tonnerre   Vent
_______ _______ _______ ______
_______ ___ ___ ___ ___ ______
_______ _______ _______ ___ ___

Montagne  Feu   Fleuve   Terre
_______ _______ ___ ___ ___ ___
___ ___ ___ ___ _______ ___ ___
___ ___ _______ ___ ___ ___ ___

Par la combinaison deux par deux de ces trigrammes, on obtient 64 hexagrammes qui forment, avec leur signification symbolique, l’idée fondamentale du livre. Chaque hexagramme se modifie par remplacement d’une ligne pleine par une ligne « sectionnée ». Ce sont les « transformations ».
Chaque hexagramme a une signification symbolique qui s’insère dans la réalité vécue par celui qui « questionne » le Yi-King. On trouve, par une méthode complexe (méthode traditionnelle) ou simple (méthode commerciale) l’hexagramme qui correspond à la demande et donne le dynamisme actuel du Cosmos en relation avec la question et avec le questionneur. Les 64 hexagrammes possibles déterminent 64 dynamismes possibles et non des structures définitives car la philosophie chinoise liée au Yi-King se refuse à toute fixation. Le monde est mouvance et l’homme doit tenter de s’y inscrire harmonieusement.
Ce n’est que tardivement que les auteurs ajoutèrent les commentaires symboliques et poétiques. Les dynamismes indiqués par les hexagrammes sont décrits par des indications générales, brèves sentences morales, exemples ou citations. Cet aspect rend souvent l’interprétation difficile car il y a des indications de directions spatiales ou de membres spécifiques de la famille et ces éléments ne sont compréhensibles que si l’on sait ce que représente le Sud, ou le mur du Nord d’une pièce, la belle-fille ou le ministre dans une famille etc.
Selon l’enseignement de Confucius, la vision du monde prépare à une vision morale particulière. Les figures, notes et symboles de ce livre forment une cosmosophie dont les principes sont les suivants :
• Le monde est basé sur deux principes : le Ciel, masculin et positif (Yang) et la Terre, féminin et négatif (Yin). Il existe une force supérieure assurant l’équilibre par interaction de ces deux principes. Yin et Yang sont toujours coexistants et de leur proportion découle le dynamisme de l’événement considéré. Dans toute obscurité, il y a de la lumière et dans toute lumière, il y a de l’obscurité ; ce qui change, c’est la part relative de lumière et d’obscurité et le dynamisme qui va soit vers plus de lumière, soit vers plus d’obscurité.
• Les sages ancêtres sont supérieurs à l’homme. Il sied de leur rendre un culte permanent car ils peuvent être les protecteurs et les guides des vivants. Il existe aussi des morts qui hantent les champs et les demeures. Ces fantômes doivent être craints et il faut s’en protéger.
• Le Sage doit équilibrer ses actes comme la Nature équilibre ses activités. Il doit proportionner ses actions à l’influence des saisons, être franc, courtois, éviter le moindre mensonge, supporter d’un visage égal fortune et infortune, se désintéresser des appréciations extérieures, se dévouer sans restriction à ses amis et sa famille, perfectionner ses aptitudes.
• La divination, science des présages, permet de mieux orienter sa vie en prenant connaissance du dynamisme cosmique dans lequel on se trouve impliqué.
Les idées fondamentales du Yi-King
Le Ciel et la Terre forment l’élément fondamental. A l’origine, le Ciel était seul souverain suprême (Chang-Ti), à l’origine de tous les êtres, à la fois père et mère de la nature. Il était le symbole de l’inconditionné qui est à la source du conditionné, l’être absolu. Le premier koua fait du Ciel l’élément créateur, la force vitale générale qui conditionne l’origine, le progrès, la durée et la perfection de toute vie.
A côté de ce symbole apparaît sa manifestation féminine, l’antique divinité de la terre et des champs. L’antique Yi-King y voit le principe réceptif.
Mais le Ciel et la Terre ne sont plus deux êtres séparés, ils sont deux formes de l’être et de l’action de la Nature unique et de leur action réciproque est issue la multitude des êtres. Le troisième koua appelé Tchoum est l’image du bourgeon sortant de la terre.
L’idée fondamentale de la philosophie du Yi-King réside en cet antagonisme originel des forces d’où sort la vie sous ses formes définies. Toute la vie provient du conditionnement mutuel des contraires : « Les oppositions ne doivent pas exclure les possibilités d’harmonie, elles marquent bien plutôt les vicissitudes d’un rythme ». Autant dire que la notion de Yi, changement, mutation, recèle un sens intrinsèque et que le devenir ne se réduit pas à une résultante de la rivalité entre Yin et Yang. Selon les proportions variables d’un de ces deux facteurs, un être ou un événement change d’aspect. Il est dans la nature des choses qu’elles oscillent entre telle ou telle manifestation.
Une unité de plus ou de moins dans l’un des contraires a une signification qualitative. Elle peut devenir indice ou cause d’une métamorphose intégrale. Si l’on sépare complètement Yin et Yang, il n’y a plus de manifestation possible. Réunis et indissociables, ils constituent l’Un du Tao et forment l’androgyne dynamique sans lequel rien ne peut être produit.
En guise de conclusion
Chez tous les anciens peuples, l’ésotérisme religieux et la philosophie se sont toujours dissimulés sous les voiles d’un mystère. Le caractère du Yi-King primitif, avec sa cryptographie et ses explications codées, n’y fait pas exception. Il reste néanmoins la condensation de la sagesse d’innombrables initiés.
Source :
Yi-King, le livre des transformations. Version allemande de Richard Wilhelm, traduction française Etienne Perrot. Paris 1994.

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