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source internet du 30 Décembre 2009 ‘La boule de cristal dévoilée’


source internet

LA BOULE DE CRISTAL DEVOILEE
L’imagerie populaire place la boule de cristal face à une « madame Irma » enturbannée, voyante extralucide de fête foraine capable de retrouver un objet perdu, de désigner un coupable ou de prédire l’avenir. En réalité, elle est l’instrument d’un art divinatoire complexe : la cristallomancie, ou l’art de lire dans les surfaces lisses et réfléchissantes, dont l’une des variantes est la catoptromancie, la divination par les miroirs.
A l’origine, on utilisait de l’eau : un étang paisible, une flaque immobile. Il semble que les Perses de l’Antiquité furent les premiers à se servir d’un speculum, un objet réfléchissant pour prédire l’avenir. Dès lors, on a utilisé des objets aussi hétéroclites qu’une omoplate de mouton, un chaudron bien lisse, des braises, la lame d’une épée ou encore un ongle de pouce poli, voire un bol de sang.
Le cristallomancien ne « voit » pas dans la boule de cristal comme sur un écran se dérouler le futur. Comme dans toutes les mancies, il faut qu’il ait un véritable don (voir notre article « qu’est-ce qu’un voyant ?). La véritable boule de divination est un cristal de roche taillé, donc opaque, et non un produit manufacturé translucide. Au même titre que tout autre objet, elle n’est que le simple déclencheur d’une « vision » ou d’un « flash ». Le praticien se concentre fortement sur elle, forçant son regard à ne pas s’arrêter en surface mais à plonger à l’intérieur, parvenant ainsi peu à peu à un état de conscience modifié.
En revanche, le cristal, par sa grande pureté, capte aisément la lumière ambiante, surtout si elle est faible ou tamisée, les ombres et les reflets. Elle est ainsi susceptible de faire apparaître aux yeux de l’utilisateur des images venues de son subconscient, qu’il interprète ensuite. Il est susceptible d’y déceler des couleurs, voire des vapeurs qui se déplacent et qui lui faudra, par la suite, interpréter.
Au XIVème siècle, le mystique soufi Ibn Khaldoun décrit brièvement le procédé de catoptromancie : « Le devin regarde la surface jusqu'à ce qu'elle disparaisse et qu’un rideau de brouillard s'installe entre lui et le miroir. C’est sur ce rideau que les silhouettes qu'il désire voir se forment d'elles-mêmes. » Certains devins emploient des enfants ou des jeunes filles vierges pour se concentrer sur leur speculum. Leur pureté est supposée leur donner une meilleure vision spirituelle alors que les moins jeunes possèdent la sagesse nécessaire à son interprétation. Spartien (IIIème siècle) rapporte que l’empereur Julianus avait recours à la divination au moyen d’un miroir placé derrière la tête d’un enfant. C’est le principe de la Pythie de la Grèce antique.
Comme toutes les mancies, la cristallomancie est interdite par l’Eglise : « Il ne se trouvera chez toi personne pour faire passer par le feu son fils ou sa fille, interroger les oracles, pratiquer l’incantation, la magie, les enchantements et les charmes, recourir à la divination ou consulter les morts. » (Deutéronome 18.10-11). Dans son article sur le livre de prières du roi de Bohème Wladislas (www.staropolska.pl/sredniowiecze/opracowania/Lang.html), Benedek Lang donne de nombreux exemples de cristallomancie et de catoptromancie relevées au Moyen Age, y compris chez des ecclésiastiques. Ces pratiques mantiques connaissent leur apogée probablement avec Nostradamus (1503 – 1566), qui utilisait un bol d’eau placé sur un trépied, pour ensuite décliner jusqu’à ne plus être que des attractions foraines.
En 1910, le peintre surréaliste britannique John Melville publie un manuel pratique, Crystal Gazing and the Wonders of Clairvoyance (Kessinger Publishing, 1994) Il y décrit la boule de cristal idéale : « Le cristal doit faire environ 4 cm de diamètre ou avoir au moins la taille d’une petite orange. Il doit être ceint dans un cadre d'ivoire, d'ébène ou de buis bien ciré, ou bien posé sur un pied en verre ou en cristal. » Il indique par ailleurs les noms mystiques à graver en lettres d’or : Tétragrammaton au nord, Agla au sud, Emmanuel à l’est ou Adonay à l’ouest. Le pied porte le nom de Saday. « Personne, hormis le propriétaire, ne doit manipuler le cristal ou le miroir au risque de mélanger les magnétismes et détruire sa sensibilité. D’autres personnes peuvent y regarder, mais en aucun cas le toucher. […] Lorsque la surface est sale ou souillée, il convient de la nettoyer avec une eau légèrement savonneuse, de bien la rincer, ou de la laver avec de l'alcool ou du vinaigre mélangé de l'eau, puis de la faire briller avec un tissu en velours doux ou une peau de chamois. […] Le magnétisme permet à la surface du miroir du cristal de collecter les informations et de se charger de l'éther universel, l’esprit se comporte alors comme s'il basculait dans l’univers et la surface du cristal devient le médium. »

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